Le panel “identities in-between” était tout en entre-deux, en palettes et alternatives.
Nenad Makuljević, de l’université de Belgrade, a parlé de “Politics of perception: Europe and Balkans between orientalism and occidentalism” et nous a montré un florilège des représentations des Balkans en Europe à travers l’histoire de l’art.
Boris Škvorc, de l’université de Zagreb, qui était modérateur du panel et intervenant tout à la fois, a situé l’œuvre de Miroslav Krleža “between Mitteleuropa and the Balkans” et s’est permis des longueurs auxquelles seul un modérateur extérieur aurait su couper court.
Lidija Nikolova, de l’université de Skopje, a donné une intervention courte et percutante (bien qu’un peu à l’emporte-pièce) à propos des écrivains ‘post-yougoslaves’ (qui, exilés ou émigrés, ont adopté une nouvelle langue, etc.) et de leur identité, intitulée : “Double identities of the Balkan writers (in the post-war context)”.